lundi 26 mars 2007

Moeurs et façons de Saint

16. Mais je le prestement piquais au moyen de mon crayon fort acéré[1].


[Le fragment] Guillaume APOLLINAIRE (Onze mille et une verges, traduction de l’arabe par R Richard Burton, Port Arthur, Eatit & All Press, 1913, pp. 69-77) relie ce passage de I, 1 et de I, 18 et conclut que le Saint était bisexuel. Pour mon compte, je crois qu’il était plutôt bitextuel. On sait bien que le Saint avait une langue et une plume de vipère, ce qui va et dans le sens de sa malice voltairienne, et dans le sens de l’hypothèse que j’ai proposée dans la note I, 1, 1, à savoir que notre auteur aurait également écrit un texte au sujet des rêves



[1] Chez Konrad LORENZ, Trois essais sur le comportement animal et humain, Paris, Seuil, Collection « Pointes Pointues », 1979, p. 111 sq.